Le jeûne : renforcer l'immunité contre des infections virales

Comme le sujet est important, et que l'extrait est bref, j'ai localisé l'étude scientifique sortie en 2020 dont elle parle, qui traite de l'efficacité potentielle du jeûne intermittent en lien avec une infection par le SARS-CoV-2 :
"Le jeûne intermittent, un outil potentiel pour renforcer les défenses de l'hôte contre l'infection par le SARS-CoV-2 : interactions entre restriction calorique, autophagie et réponse immunitaire"

📍Résumé audio de 7 minutes généré exclusivement à partir du contenu de cette étude (🤖) via un lien vers Drive
🔗👂🏻🎧

📍Infos supplémentaires :
Concernant la durée nécessaire à l'activation de l'autophagie :
* Le jeûne active l'autophagie par signalisation aux capteurs métaboliques spécifiques dans des conditions de manque de nutriments (jeûne). Cette activation ne se fait pas lorsque la nourriture abonde et que l’on mange sans arrêt.

* Une étude a révélé que chez des « rats affamés pendant 24 à 46 heures », la plupart des cellules de presque tous les tissus vitaux présentaient un nombre accru d’autophagosomes [structures cellulaires qui jouent un rôle clé dans l'autophagie, un processus par lequel la cellule dégrade et recycle ses propres composants. Ils sont formés pour englober des parties de la cellule, comme des organites endommagés ou des protéines mal repliées, et les dirigent vers des lysosomes pour leur dégradation. En résumé, ce sont des "sacs" qui aident à nettoyer et à maintenir la santé de la cellule], ce qui indique une induction de l'autophagie.

* Mais le jeûne intermittent, notamment la pratique du Ramadan (plus de 14 h/jour pendant 30 jours consécutifs), a également montré des effets bénéfiques sur le système immunitaire et le métabolisme. Bien que cette pratique active des processus cellulaires liés à la défense de l'hôte, la source ne spécifie pas directement le temps précis d'activation de l'autophagie chez l'être humain durant ces périodes de jeûne.

Selon les sources, et selon les conditions métaboliques, l’activation commence souvent entre 12-16 h.

Certains facteurs peuvent la favoriser :
- un métabolisme rapide (jeunes, actifs)
- une pratique régulière du jeûne intermittent (par ex. 16/8 quotidien)
- l’activité physique (HIIT ou endurance)
- un régime alimentaire faible en glucides
- suffisamment de sommeil/stress réduit

Certains facteurs peuvent la ralentir, il faudra alors persévérer :
- une insuline élevée
- un régime riche en glucides
- des troubles métabolique (diabète, etc.)
- l’âge, le sexe (influence des hormones)

Précisions concernant les virus, le glucose et l’autophagie :
La vidéo simplifie un peu à l’extrême et certains virus réussissent à interférer et à gêner l’autophagie pour se répliquer (techniques d’évasion). Les virus dépendent certes du métabolisme de l’hôte, mais pas uniquement du glucose.
Ce n’est donc pas une baguette magique, cela ne remplace pas les traitements précoces !

👌🏼Mais les effets anti-inflammatoire, de stimulation du système immunitaire et de limitation de la réaction inflammatoires excessives sont très intéressants.

PDF du post avec un glossaire de mots techniques liés au sujet dans le canal ⬇️

🇩🇪🦠 Le virologue Christian Drosten et le facteur 16 (de létalité) « fake »

⚖️ Lorsqu'une cour constitutionnelle examine la proportionnalité des mesures prises pour lutter contre une pandémie, il est essentiel de savoir si « la science » estime qu'un nouveau virus est 16 fois plus mortel que la grippe ou s'il est simplement « légèrement plus dangereux »

Un article très intéressant sur l'influence indue de ce mensonge.

🔗📄 PDF (traduction humaine👩🏻‍💻) en ligne
Ou dans le canal ⬇️

👩🏻 🎤 🎶 D’auteur-compositeur à porte-parole des patients - Dana Parish donne la parole à des millions de patients

Terrassée par une maladie mystérieuse, confrontée à un système de santé qui refusait de la croire, alors qu’elle était en danger, Dana a fait preuve d’une détermination à toute épreuve et s’en est sortie.
Son combat pour la survie s’est alors transformé en mission pour aider les autres.
Qu’il s’agisse de la maladie de Lyme, du Covid long, de maladies génétiques, etc., les écueils sont les mêmes :
Absence de prise en charge appropriée, « c’est dans votre tête », incompréhension médicale et de la part des proches. C’est le lot de trop de patients atteints de maladies chroniques.

Que vous soyez un proche aidant ou un patient atteint d’une maladie chronique en quête de réponses, ce témoignage vous inspirera.

🎵🎶 💝 À la fin de l’épisode de 18 minutes, vous aurez le plaisir d’écouter une chanson de l’artiste, sous-titrée et accompagnée de diapositives qui font le lien entre l’auteur-compositeur-interprète, la porte-parole de millions de patients et ce que vivent ces derniers.

📽️ en 🇫🇷 suivie de la🎵chanson 🔼
📽️ de la chanson seule 🎵🔼

🔗 📽️ sur Odysee

🔗📄 PDF en 🇫🇷 du texte de l’interview

Sources :
📽️ vidéo en 🇬🇧
🎵 Chanson

Comment la santé des sols façonne votre microbiome

« Le courage qui fait la différence » ou « Une belle leçon d’humanité intégrée à la science », 💝 voilà ma vision de cette interview !

📽 du Dr Sabine Hazan au 🎙️ du Dr Nathan Goodyear

🌍 Cet épisode nous rappelle avec force que pour restaurer la santé humaine, nous devons d'abord restaurer le sol sous nos pieds. Des probiotiques aux produits frais, chaque décision en matière de santé commence à la racine.

Quand science, médecine et agriculture se donnent la main, ce n’est plus seulement de la prévention, c’est une révolution silencieuse.

📌 Points clés
🌱 La santé des sols influence directement la diversité du microbiome intestinal et la santé humaine.

💊 Les niveaux de bifidobactéries augmentent considérablement avec une supplémentation orale en vitamine C.

🚜 À l'inverse, l’agriculture industrielle appauvrit la biodiversité des sols, réduisant ainsi la teneur en micronutriments des aliments.

🌾 En revanche, l'agriculture régénérative restaure la richesse microbienne des sols et améliore la densité nutritionnelle.

🦠 Une carence en vitamine C et un faible taux de bifidobactéries sont associés à des maladies chroniques et à des formes graves de COVID-19.

🔁 La vitamine C favorise la « refloralisation™ », un terme créé par le Dr Hazan pour désigner la restauration du microbiome.

🤝 Le Dr Hazan souligne la nécessité d'une collaboration entre médecins et agriculteurs pour promouvoir la santé plutôt que la maladie.

🛡️ La diversité du microbiome peut influencer la résilience face aux infections, aux inflammations et au cancer.

📈 Une petite étude observationnelle a montré qu'une prise de vitamine C par voie orale augmentait le nombre de bifidobactéries chez 100 % des participants.

🛒 Les chaînes d'approvisionnement alimentaire modernes dégradent la teneur en nutriments des aliments, de la ferme à l’assiette, ce qui aggrave les risques de carences.

🔄⚠️ La boucle de rétroaction infernale dont il faut sortir

⏱️ Minutage
0:00 - Introduction : De la terre à l'âme
2:50 - Le rôle du microbiome intestinal dans la santé
5:45 - Le lien entre la vitamine C et les bifidobactéries
8:28 - Innovation médicale et essais cliniques
11:33 - L'importance de la relation médecin-patient
14:14 - L'impact de la COVID-19 sur la santé intestinale
17:21 - L'avenir de la médecine et du microbiome
44:39 - La santé des sols et la prévention des maladies
47:20 - L'appauvrissement des sols dans l'agriculture moderne
50:39 - Le rôle de l'agriculture régénérative
53:37 - Résilience du microbiome et immunité
58:51 - Diversité microbienne et santé intestinale
1:03:51 - Agriculture, santé et résilience humaine
1:09:35 - Banque microbienne et santé planétaire

🌍 Et si la clé de notre santé n’était pas dans une pilule… mais dans une poignée de terre vivante ?

🔗📄 PDF 🇫🇷 de 21 pages y compris lien des études citées en ligne ou dans le canal ⬇️

💥Aluminium des vaccins 💉💉💉 - l’étude danoise 🇩🇰 mise KO 🥊

Elle conclut :
« L'exposition cumulative à l'aluminium provenant de la vaccination au cours des deux premières années de vie n'était associée à aucune augmentation des taux des 50 troubles évalués. »

🚨 Mais quand on plonge dans le détail du texte et du supplément 🕵🏻‍♀️🔎, c’est une tout autre histoire :

🔹 34 547 enfants ayant reçu "trop de doses" 💉avec aluminium, plus que le schéma de base) ont été écartés.
🔹 Les maladies auto-immunes, allergies ou troubles neurodéveloppementaux diagnostiqués avant 2 ans passent sous le radar (Il n’ont compté QUE celles diagnostiquées APRÈS l’âge de 2 ans).

⚠️ Ne manquez pas la liste des maladies concernées dans le PDF ! ⬇️

Malgré toutes leurs magouilles, quelques exemples de ce que les suppléments montrent :

💡(HR = hazard ratio, c’est le rapport des risques, inférieur à 1, le risque est inférieur, = 1, il n’y a pas de différence, supérieur, par ex 3, signifie 3 x plus de risque)

Figure 3, p 11, (quantité cumulative)
1️⃣ Hashimoto (HR 2.64 [0.65–10.62]) chez les garçons
Un HR 2.64 suggère une association potentiellement importante (plus de 2,64 fois plus de risque).
Point faible : intervalle de confiance énorme [0.65–10.62]. Cela reflète un faible nombre de cas (probablement < 20), donc le résultat est statistiquement non significatif.
Impossible de conclure à un risque réel, mais certainement pas de conclure à une absence de risque, vu la taille de l’IC. Ça signale un manque de puissance pour détecter des associations réelles.

2️⃣ Arthrite rhumatoïde (HR 1.53 [0.77–3.07]) chez les garçons
Même logique : tendance au-dessus de 1, mais IC large qui inclut la possibilité d’absence d’effet.
Là aussi, pas assez de cas pour trancher. Mais ça ne va pas dans le sens d’un effet nul.

Figure 4, p 12 (exposition cumulative)
3️⃣ Syndrome d’Asperger (HR 1.67 [1.01–2.77]) statistiquement significatif chez les garçons
En clair, augmentation du risque d’Asperger de 67 % chez les garçons dans ce modèle.
L’étude n’en parle pas dans ses conclusions, ce qui est gênant, car c’est exactement le type de signal qu’une telle analyse est censée relever.

Bref, si vous voulez prouver qu’un produit est inoffensif, commencez par supprimer les données gênantes, ajustez la fenêtre dans laquelle vous comptez et le tour est joué !

🚨 Et non, les médecins, les parents et les scientifiques ne peuvent pas se contenter de lire le résumé et les résultats d’une étude, ni se fier aux médias et « autorités » qui s’en contentent !

Avis aux auteurs : les vieux trucs pour torturer les chiffres, trier les données gênantes et faire avouer aux statistiques ce qu’on vous a commandé… ça ne passe plus. Les lecteurs ont compris la manœuvre. Et franchement, ce n’est ni scientifique, ni professionnel ! 🙈

🔗 de l’étude
🔗 du supplément

🔗 Un article de Children’s Health Defense dans lequel vous découvrirez plus de failles de ladite étude 🇫🇷

🚨 PDF du post avec la liste complète des pathologies préexistantes diagnostiquées au cours des deux premières années de vie qui ont été ignorées pour les conclusions de l'étude ou dans le canal ⬇️

💥 Si même Christian Drosten a des doutes 😅😅😅

Steven Massey :
« Selon Drosten, l'ajout d'un site de clivage de la furine (séquence spécifique dans une protéine où l'enzyme furine coupe la protéine pour l'activer, ce qui peut faciliter l’entrée du pathogène dans les cellules) permettrait de cultiver un virus en culture cellulaire, ce qui facilite le développement d'un vaccin. »

Peu importe le risque de créer un virus pour lequel il n'existe aucun vaccin... 🤦

@Biorealism
« Christian Drosten sur DEFUSE : Ils voulaient introduire des virus du SRAS provenant de chauves-souris dans le laboratoire et les isoler. S’ils ne parvenaient pas à cas multiplier ces virus dans des cultures cellulaires, ils voulaient y insérer artificiellement un site de clivage de la furine. De ce point de vue, c'est certainement inquiétant.

taz : Est-ce comparable à ce qu'a fait Ron Fouchier à l'époque ?

Drosten : C'est différent. Ron Fouchier a combiné en laboratoire diverses mutations naturelles du virus H5N1 afin de déterminer si cela le rendait plus dangereux. De telles combinaisons existent également dans la nature. En revanche, si j'insérais un site de clivage furine artificiel dans des virus du SARS, je ferais quelque chose qui n'existe peut-être même pas dans la nature et dont je pourrais déjà supposer qu'il rendrait le virus plus transmissible.

taz : Et quel serait l'intérêt ?

Drosten : Tout d'abord, il y a un avantage technique, car ces virus ne peuvent normalement pas être reproduits en culture cellulaire. Or, c'est une condition préalable pour pouvoir les étudier de manière approfondie. Ce n'est qu'alors qu'il serait possible de développer un vaccin contre eux, par exemple. La proposition de recherche soutenait que les virus provenant de chauves-souris pourraient peut-être être plus faciles à étudier en laboratoire en utilisant un site de clivage de la furine.

taz : Mais la demande a été rejetée ?

Drosten : C'est exact, probablement aussi pour des raisons de sécurité. Mais le public se demande à juste titre si les scientifiques chinois auraient pu travailler dessus malgré tout. Disposaient-ils déjà de la technologie nécessaire ? Auraient-ils également mené ce type de recherche de leur propre chef ? J'ai longtemps douté que ce soit le cas. Mais récemment, j'ai parfois eu un mauvais pressentiment.

taz : Pourquoi ?

Drosten : Je suis régulièrement sollicité par des revues scientifiques pour évaluer des articles d'autres chercheurs. J'ai récemment lu des articles provenant de Chine qui vont clairement dans ce sens. Pas spécifiquement sur le virus du SRAS, car nous sommes désormais tous immunisés contre celui-ci. Mais il existe d'autres virus zoonotiques chez les animaux, y compris des coronavirus, qui pourraient être dangereux. Ceux-ci ne devraient être manipulés en laboratoire qu'avec des mesures de sécurité renforcées. Mais ce n'est pas toujours clairement précisé dans ces études. Récemment, on m'a soumis des travaux que je ne ferais pas ainsi dans ce contexte, et je le signale lors de l'évaluation en précisant que cela pourrait être dangereux.

taz : De telles recherches sont menées en Chine et leurs résultats sont également publiés ici ?

Drosten : Les scientifiques ne mènent pas leurs recherches dans le but de les garder secrètes. La publication est l'objectif et la récompense de leur travail. Et bien sûr, cette motivation n'est pas propre à l'hémisphère occidental. En Chine en particulier, on observe des progrès technologiques rapides, comme dans d'autres domaines de pointe. De ce point de vue, je tire mon chapeau à ce type de travail. Cependant, il n'est pas toujours évident de savoir dans quelle mesure la réglementation et le contrôle sont appliqués de manière cohérente et s'ils sont aussi stricts qu'ici. »

https://archive.is/2025.01.25-212827/https://taz.de/Christian-Drosten/!6061896/

Interview du Dr Sabine Hazan, gastro-entérologue et chercheuse spécialisée dans le microbiome, par John Campbell

📽️ https://www.youtube.com/watch?v=mEdgatHJ7gg
(Malheureusement, la traduction automatique ne fonctionne pas pour cette conférence)

Mais vous avez tout de même droit à un 🎁 :

Résumé généré par IA 🤖 puis complètement relu et revu 👩🏻‍💻 (par moi-même)
(La prochaine fois, je demanderai à l'IA de na pas mettre de majuscules à tous les mots des titres 😅)

1. Le Microbiome : une révolution en médecine
- La transplantation fécale et les recherches sur ses applications potentielles

2. La dysbiose : un déséquilibre fondamental
- Le concept de l’intestin perméable
- Causes de dysbioses

3. COVID-19 et microbiome : une relation complexe
- Persistance virale dans les selles et lien avec le Covid long
- Impact sur le microbiome
- Virus et bactériophages
- L’origine du virus

4. Microbiome et santé mentale : L’axe intestin-cerveau
- Rôle du microbiome cérébral
- Signature microbiologique des troubles mentaux
- Approche holistique

5. Nutrition et vie quotidienne pour un microbiome sain
🍑🥑🥕🍐🫒🍎Prébiotiques
💊 Probiotiques
- Aliments à éviter et facteurs environnementaux
- Importance de la diversité
- Défis de la recherche sur le microbiome
- Nécessité de l’innovation
- Leçons de la pandémie de COVID-19
- L’importance des sens dans le diagnostic
- Paradoxe de la stérilisation

📄 PDF en ligne ou dans le canal ⬇️

🇺🇸 🏛️ Toute loi a commencé par un projet

💥 H.R. 4668, qui vise à mettre fin à l’immunité juridique des fabricants de vaccins, a été introduit à la Chambre des représentants le 23 juillet 2025.

Il reste cependant un sacré chemin à parcourir : vote à la Chambre, vote au Sénat, puis signature du président.
Alors on croise les doigts, et tout ce qu’on peut 😅

💬 et on en parle autour de nous — pour que la pression populaire arrive aux 👂🏻👂🏻 des décideurs 🙏🏻

https://www.congress.gov/bill/119th-congress/house-bill/4668

Captures soigneusement traduites avec le premier ☕️😉 🔼

Epstein 2010.

Pourquoi n'a-t-il pas répondu "non"?

(source)

💥🕵🏻‍♀️ Tulsi Gabbard @DNIGabbard - Directrice du renseignement national des États-Unis 🇺🇸

Un rapport explosif - des fasifications à dessein - des preuves compromettantes dissimulées - collusion - Obama - Hillary Clinton et consorts

Traduction en 🇫🇷 de sa déclaration de 10:20 min. 📽 no 1

« Je vais passer en revue les principales conclusions du rapport de la Commission du renseignement de la Chambre des représentants, qui a en>quêté sur les allégations formulées dans une évaluation de la communauté du renseignement commandée par le président Obama et publiée en janvier 2017.

Suite dans le PDF 🔼en ligne ou dans le canal⬇️

Traduction en 🇫🇷 de la 📽 no 2

Journaliste : Une partie quelconque de ces nouvelles informations implique-t-elle un comportement criminel de l'ancien président Obama ?

Tulsi Gabbard : Nous avons transmis et continuerons de transmettre tous ces documents au Département de la Justice et au FBI pour enquêter sur les implications criminelles de cela.

Journaliste : Aussi pour le président Obama ?

Tulsi Gabbard : C’est exact. Les preuves que nous avons trouvées et que nous avons publiées pointent directement vers le président Obama comme dirigeant la fabrication de cette évaluation du renseignement. De multiples preuves et renseignements confirment ce fait.