Voici un résumé de l'article “DNA discovery, extraction and structure. A critical review” publié le 15 décembre 2021 sur le blog Critical Check
👉https://criticalcheck.wordpress.com/2021/12/15/dna-discovery-extraction-and-structure-a-critical-review/

🧬 Aperçu du contenu

1. Introduction
L’auteur, identifié sous le pseudonyme Tam, remet en question l’instruction scientifique : l’existence, la structure et la fonction du ADN sont présentées comme des certitudes scientifiques.
Il suggère que l’ADN a d’abord été un concept, né du besoin de trouver le « secret de la vie » dans les cellules, et que les premières méthodes d’extraction ont servi de base à des constructions théoriques telles que chromosomes, gènes, ARN, PCR, CRISPR, etc.

2. Extraction de l’ADN
Commence avec Friedrich Miescher, qui en 1869 a isolé le « nuclein » (notre ADN) à partir de leucocytes issus de bandages médicaux.
Le procédé chimique employé est décrit comme fragile et dépendant de réactions acide/alcali, soulignant que ces méthodes pourraient transformer la substance étudiée.

3. Composants de l’ADN
L’article aborde également l’histoire de l’identification des nucléobases et des constituants du noyau d’ADN, en remettant en question la simplicité des interprétations traditionnelles.

4. Structure de l’ADN
Le texte revient sur les étapes historiques jusqu’au modèle de double‑hélice décrit par Watson & Crick en 1953.
Il critique la fiabilité des techniques expérimentales d’alors, notamment la diffraction des rayons X, soulignant que les données demandaient des inférences et constructions théoriques – parfois prématurées.
Le rôle clé de Rosalind Franklin est mis en avant : son interprétation prudente des données, et sa réticence à accepter des modèles théoriques sans preuves solides.

5. Réflexions finales et conclusion
L’auteur invite à la scepticisme scientifique : l’ADN tel que nous l’enseignons aujourd’hui pourrait être le produit d’un dogme scientifique autant que d’une découverte.
Il plaide pour une réévaluation rigoureuse, en distinguant ce qui est réel de ce qui repose sur des modèles indirects ou inférés.

🔍 En résumé

L’article propose une lecture critique et alternative des grands jalons de la biologie moléculaire :
Les méthodes d’extraction d’ADN, vues comme des artefacts potentiellement trompeurs ;
Les interprétations de la structure moléculaire basées sur des modèles plutôt que sur des données irréfutables ;
Un appel à la vigilance face à l’adoption d’un paradigme scientifique sans remise en question directe.

📌 À noter

Il ne s’agit pas d’un article publié dans une revue scientifique, mais plutôt d’un essai critique indépendant.
Ses arguments sont alignés avec une vision sceptique ou holistique de la biologie, plutôt que selon le consensus académique actuel.

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À Montpellier, l’UMR ASTRE (INRAE / CIRAD) coordonne les tests PCR pour la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) via son rôle de Laboratoire National de Référence sur les poxviroses des ruminants. Ce laboratoire incarne l’image d’une science publique au service de la santé animale… mais derrière les murs, les circuits de financement racontent une autre histoire.

Le CIRAD, bien qu’organisme public français, est profondément intégré dans des réseaux de financement globalisés. Si 65 % de son budget provient de l’État, le reste est issu de projets contractualisés, incluant des partenariats avec l’Union européenne, l’Agence française de développement, l’OMS animale (WOAH), la FAO… et des acteurs privés ou philanthropiques, comme la Fondation Bill & Melinda Gates.

Ces collaborations prennent forme notamment à travers l’initiative DeSIRA (Development Smart Innovation through Research in Agriculture), lancée lors du One Planet Summit 2017 à Paris, dans le cadre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. Ce programme, articulé avec la Fondation Gates, vise à transformer l’agriculture et les systèmes de santé vétérinaire dans les pays du Sud pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD).

Derrière la promotion du modèle "One Health", c’est une nouvelle architecture de gouvernance mondiale qui se met en place : les priorités scientifiques, les stratégies de diagnostic et de vaccination, ou encore les flux de données sanitaires sont de plus en plus intégrés à des logiques pilotées par des consortiums publics-privés internationaux.

La question n’est plus de savoir qui influence ces programmes, mais comment des objectifs globaux dictés par une élite technocratique transforment en profondeur les politiques locales, y compris vétérinaires.
Derrière la PCR, ce n’est pas seulement un virus qu’on traque — c’est aussi une centralisation des outils, des décisions et des profits, souvent au détriment de la souveraineté scientifique et des réalités de terrain.

La DNC devient alors le révélateur d’un modèle : celui où l’urgence sanitaire légitime une gouvernance mondiale silencieuse, au nom du bien commun.

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Dr. Philippe Caufour, responsable du Laboratoire National de Référence poxviroses des ruminants (CIRAD de Montpellier) dans l'unité UMR ASTRE (Unité Mixte de Recherche | Animal, Santé, Territoires, Risques et Écosystème) présente la méthode d'identification du virus de la Dermatose Nodulaire Contagieuse dans le cadre de la stratégie déployée par l’État.

Date de la vidéo : 30 juillet 2025

🧐 A noter qu'un guide de l'état concernant la DNC à destination des vétérinaires, recommande à la page 11, d'envoyer les prélèvements dans ce seul laboratoire :
https://www.veterinaire.fr/system/files/files/2025-06/20250424_guide_epizootie_dncb_v5.pdf

👉 Source : https://www.instagram.com/reel/DM0I5C0Bu8m/?igsh=emRwdnl0MDlzNTJh

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Elle confirme que le test réalisé pour la DNC est le PCR

👉 Source : https://fb.watch/B0_QJSXXCw/

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