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Информация о канале обновлена 18.11.2025.
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On en parle partout, mais peu savent pourquoi les aliments ultra-transformés sont réellement nocifs.
Ce n’est pas qu’une histoire “d’additifs” : c’est une question de biologie du vivant.
Indice NOVA
Le système NOVA classe les aliments selon leur degré de transformation :
1️⃣ Aliments bruts ou peu transformés (fruits, légumes, œufs, noix).
2️⃣ Ingrédients culinaires (huile, sel, miel).
3️⃣ Aliments transformés simples (pain, fromage, conserves).
4️⃣ Ultra-transformés (NOVA 4) : assemblages industriels contenant additifs, arômes, protéines isolées, sucres raffinés ou graisses modifiées.
Pourquoi c’est un désastre physiologique
Ces produits trompent nos capteurs sensoriels et hormonaux :
→ Ils activent la dopamine et court-circuitent la satiété.
→ Ils perturbent la communication cerveau–foie–microbiote.
→ Ils provoquent des pics glycémiques, un stress oxydatif et une inflammation chronique — racines communes des maladies modernes : obésité, diabète, cancers, dépression.
→ Leur texture molle et leur pauvreté en fibres ou micronutriments désactivent les fonctions naturelles de digestion et de régulation.
Résultat : plus de mastication, plus de rythme, plus de vie.
C’est littéralement une nourriture morte, sans cohérence biologique, qui épuise les forces adaptatives du corps.
Les faits sont clairs
Toutes les grandes études épidémiologiques le confirment sans la moindre ambiguïté :
plus l’indice NOVA est élevé, plus le risque de maladies chroniques augmente — de façon directe, dose-dépendante et indépendante du mode de vie.
Les solutions
→ Lire les étiquettes : plus de 5 ingrédients = souvent NOVA 4.
→ Cuisiner, fermenter, déshydrater.
→ Manger vivant : frais, coloré, enzymatique.
→ Réapprendre à sentir : la vraie satiété vient du corps, pas du marketing.
Chaque repas est un vote : pour le vivant ou pour l’industrie.
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📣 Témoignage de la semaine
Analyse RGNR :
Maladies “mentales” ou déséquilibres du vivant ?
Ce qu’on appelle “maladie mentale” n’existe pas hors du corps, parce que notre mental n'existe pas hors de notre corps.
Une émotion, c’est une réaction biologique : hormones, influx nerveux, contraction musculaire, respiration, rythme cardiaque.
Une pensée, c’est une décharge électrique, un neurotransmetteur, un état métabolique précis.
Quand tu changes de physiologie, tu changes de pensée — et quand tu changes d’état intérieur, tu modifies ta chimie.
Mais la boucle est double : nos états psychiques modèlent aussi notre biologie.
Le stress chronique, par exemple, altère la barrière intestinale :
→ le cortisol détruit les jonctions serrées de l’intestin,
→ laissant passer des molécules inflammatoires qui vont jusqu’au cerveau.
Résultat : microbiote déréglé, inflammation silencieuse, baisse de sérotonine… et anxiété accrue.
Le cerveau devient hypersensible, le système nerveux s’emballe : plus de stress, plus de fuite du présent, plus de déséquilibre physiologique.
Cercle vicieux ou vertueux : tout dépend de la direction du mouvement.
Ce qu’Émilie raconte, c’est la vérité du vivant : la psychiatrie chimique a tenté de couper les fils entre le corps et la conscience.
Mais il n’y a jamais eu de séparation : “psyché”, “émotion”, “physiologie” ne sont que des mots différents pour un même phénomène.
Son retour à la santé n’a pas consisté à “soigner son mental”, mais à restaurer le dialogue entre ses systèmes :
respiration, alimentation, mouvement, pardon, expression, nature.
C’est ça, la véritable médecine : une régénération des boucles corps-esprit,
où la biologie soutient la conscience et la conscience reprogramme la biologie.
Ce qu’on appelle “maladie mentale” est souvent la traduction chimique d’un déséquilibre émotionnel et énergétique,
une tentative désespérée du vivant de retrouver son unité.
Nous dédions ce texte à Émilie, et à toutes les mamans et papas qui se battent courageusement pour améliorer leur santé et celle de leurs enfants.
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→ Céleri branche — 3 grosses tiges
→ Concombre (fin de saison) — 1 moyen
→ Fenouil — 1/2 bulbe
→ Laitue romaine — 4–5 grandes feuilles (ou 1/2 endive si tu veux plus d’amertume)
→ Épinards — 1 petite poignée (ou 1/2 bouquet de persil si vous êtes victimes de la PCO — Peur Chronique des Oxalates — liée à une surconsommation de vidéos sur internet)
→ Citron — 1/2 avec un peu de zeste
→ Gingembre frais — 1 cm
→ Mélisse fraîche (ou menthe/basilic) — 1 petite poignée
→ (Option goût) Pomme verte — 1/2
Pourquoi ça marche :
→ Potassium & magnésium (céleri, concombre, verdures) : neutralisent les acides produits par la réaction de stress, aident la relaxation neuromusculaire.
→ Amers (romaine/endive, fenouil, zeste de citron) : stimulent le réflexe vagal digestif → signal de sécurité au système nerveux.
→ Nitrates organiques (fenouil, verts) : meilleure perfusion sanguine (apport de sang aux tissus) → clarté mentale sans “shoot”.
→ Mélisse : tonique nerveux apaisant, utile sur anxiété et ruminations.
→ Gingembre : réveille l’estomac, coupe le “nœud” abdominal des émotions bloquées.
Utilisation “anti-craving” :
Bois 150–200 ml avant l’élan compulsif (ou dès que tu le repères).
Respiration 4 s inspiration / 6 s expiration pendant que tu bois, gorgée lente, 30–60 s de pause entre gorgées.
Enchaîne 1 minute de micro-mouvements (épaules, mâchoire, respiration basse).
Conseils pratiques :
→ Vise un jus très majoritairement légumes (≤ 1/2 pomme).
→ Bois à température ambiante et surtout pas glacé pour ne pas spasmer le diaphragme.
→ Rotation des verdures (épinards/persil/roquette/blettes).
Ce jus n’est pas “le remède” aux compulsions — nous ne vendons pas du rêve : il donne la fenêtre de calme nécessaire pour terminer le mouvement émotionnel (souffle, EFT, etc.) au lieu de l’anesthésier.
📅 Rendez-vous vendredi prochain pour le troisième épisode de la série “Breaking Through”, consacré à “la Bête” qui parle à notre place dans les épisodes de compulsion...
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C’est la phrase que prononce toute personne aux prises avec une addiction ou une compulsion.
On croit qu’on ne peut pas s’en empêcher, que c’est plus fort que nous — et tant qu’on y croit... c’est vrai.
Jack Trimpey, ancien alcoolique et psychologue, a mis un mot dessus : la Bête.
Cette part primitive du cerveau, née pour assurer notre survie, réclame une seule chose : le soulagement immédiat.
Manger, boire, consommer, fuir la tension, éteindre la douleur.
Et elle sait se faire passer pour nous, elle utilise nos pensées, notre voix intérieure, nos émotions… jusqu’à ce qu’on ne fasse plus la différence.
Mais voici la réalité : la Bête n’a ni bras ni jambes.
Elle ne peut rien faire sans nous.
Elle nous fait croire qu’elle commande, mais elle ne peut agir que si nous lui prêtons notre corps, notre main, notre bouche.
Et la reconnaître, c’est déjà l’affaiblir.
Trimpey ne parle pas de thérapie, ni de pardon, ni de lente reconstruction.
Il parle d’un acte de lucidité radical : voir la Bête, lui refuser l’accès au corps, et reprendre le contrôle.
Le jour où on comprend que ce n’est pas “nous” qui voulons consommer, mais cette impulsion archaïque, tout change — car il ne s’agit plus de se battre, mais de choisir.
Et la dépendance n’est pas une malédiction : c’est une confusion d’identité.
Alors, mythe ou réalité ?
La vérité, c’est que tu peux t’en empêcher.
Pas demain, pas quand tu iras mieux — maintenant.
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📣 Témoignage de la semaine
Analyse RGNR — “Pourquoi toujours tout opposer ?”
Joaquim, 43 ans, sarcome géant, urgence vitale, chirurgie, traitement lourd… et pourtant, il est encore là.
Alors bien sûr, certains vont dire : “Oui mais il a eu recours à la médecine moderne !”
Et alors ? Qui a dit qu’il fallait choisir un camp ?
Depuis quand la vie se résume à un duel entre “naturel” et “médical” ?
Cette opposition est absurde, elle est idéologique, pas physiologique.
L’urgence, c’est une chose.
Quand ton ventre explose (péritonite), tu ne bois pas un jus, tu files au bloc. Et heureusement qu’il existe des chirurgiens pour ça.
Thierry racontait qu'il s'était ouvert la jambe jusqu'au tendon, il n'est pas parti se faire un jus de carottes ;)
Mais la guérison, la vraie, celle qui transforme, c’est autre chose.
C’est le travail sur le terrain, sur le mode de vie, les émotions, la relation à soi, la physiologie vivante.
C'est ce qui fera que tu n’en développeras plus de péritonite.
C’est ce que Joaquim a compris : l’urgence soulage, le terrain guérit.
Le problème, c’est qu’aujourd’hui on veut nous faire croire que c’est l’un ou l’autre.
Tu prends un médicament, tu es “raisonnable” — mais si tu fais un jeûne ou que tu changes ton alimentation, tu es “dangereux”.
Cette polarisation est exactement ce que veut le système idéologique actuel de la santé :
→ un modèle unique,
→ centralisé,
→ docile.
Mais la santé, la vraie, n’est pas un camp.
C’est une intelligence du vivant.
Et l’intelligence, c’est la nuance, c’est la complémentarité, pas la guerre des chapelles.
Joaquim a utilisé ce qui pouvait l’aider sans se soumettre à l’un ni à l’autre, en gardant la souveraineté du choix.
Il a géré l’urgence avec pragmatisme, puis il a régénéré son terrain avec lucidité.
Et c’est exactement ce que l’on enseigne ici :
→ La médecine d’urgence sauve des vies.
→ Le soin du terrain sauve des existences.
Les deux ensemble, c’est le bon sens — et c'est ce que Thierry a toujours dit.
Tout le reste — l’opposition, la peur, la stigmatisation — ne sert qu’un seul maître : le contrôle idéologique.
Alors, arrêtons de choisir entre les outils du vivant et ceux de la technique.
Parce que le vrai choix, c’est entre la conscience et l’endoctrinement.
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Quand une émotion est bloquée, le corps reste en mode alerte : amygdale active, respiration courte, muscles tendus, cortisol élevé.
Ce défi apprend au système nerveux à terminer le mouvement émotionnel pour que la tension retombe sans compulsion.
Ce qu’il faut savoir
Une émotion, c’est un mouvement biologique : elle prépare à l’action (fuir, agir, relâcher).
Quand elle est coupée, le corps reste bloqué dans la réaction : souffle haut, ventre serré, cœur rapide.
→ Le but : permettre au corps de finir ce qu’il n’a pas pu faire.
Mode d’emploi (7 min)
→ Nommer & noter : “Je sens de la (identifier douleur) dans (localiser douleur)” – noter l'intensité de 0 à 10
→ Ancrage : assis, pieds au sol. Respiration 4/6 (inspire 4 s, expire 6 s).
→ Localiser : main sur la zone la plus vive (poitrine, gorge, ventre).
→ Autoriser : garder 4/6, laisser venir soupirs, larmes, tremblements, micro-mouvements.
→ Si un geste veut sortir (pousser, dire non, se replier), mime-le lentement 2–3 fois.
→ Clôture : main sur le cœur, 3 soupirs lents, puis re-note l’intensité.
Ce qui se passe physiologiquement :
→ L’expire prolongé active le nerf vague et apaise l’amygdale.
→ Les micro-mouvements libèrent le réflexe de figement.
→ Le souffle ample restaure la régulation parasympathique.
Résultats attendus
→ Moins 2 points d’intensité, chaleur périphérique, respiration plus fluide, baisse du besoin de compenser (sucre, scroll…).
→ Même sans grande baisse, si le souffle s’apaise, le système sort déjà du mode survie.
Éviter de :
→ forcer le souffle,
→ chercher “pourquoi”,
→ bloquer le tremblement.
🕊️ À faire 1 à 3 fois/jour pendant 7 jours : c’est un entraînement de sécurité intérieure.
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On entend souvent : “Ce n’est que du passé, tourne la page.”
Mais le corps, lui, n’a pas de passé : il vit tout au présent, à travers la mémoire des tissus, des nerfs et des hormones.
Une émotion n’est pas un concept mental.
C’est un processus biologique complet :
→ activation du système nerveux autonome,
→ libération de neurotransmetteurs et d’hormones (adrénaline, cortisol, noradrénaline),
→ variations du rythme cardiaque, de la tension musculaire, du flux sanguin, de la respiration.
L’émotion est un mouvement physiologique destiné à préparer l’action : fuir, lutter, crier, pleurer, se protéger.
Mais quand le contexte ne permet ni l’action ni l’expression, ce mouvement reste inachevé.
Le corps se fige : le diaphragme se bloque, les muscles restent contractés, le tronc cérébral garde l’alerte.
C’est ça, le trauma : un réflexe de survie resté bloqué dans le système nerveux.
Et tant que ce mouvement n’a pas pu se compléter, le corps le garde “en mémoire”.
Il suffit alors d’un son, d’une odeur, d’un visage, d’une phrase, pour que tout le réseau neurovégétatif se réactive.
Nous ne parlons pas symboliquement mais physiologiquement.
L’amygdale tire la sonnette, le cortisol monte, le cœur s’emballe, le sang fuit la périphérie — exactement comme la première fois.
Ce n’est pas du “psychologique”, c’est une répétition physiologique d’un état inachevé.
Et cette réactivation n’est pas une erreur : c’est le corps qui tente de finir ce qu’il n’a jamais pu terminer.
Le travail, ce n’est pas de revivre la scène,
c’est de réouvrir la voie du mouvement : respirer là où ça s’était bloqué, sentir là où on s’était coupé, redonner au corps la permission de trembler, de pleurer, de relâcher.
Une émotion, c’est la vie en mouvement,
alors qu’un trauma, c’est la vie figée.
Et la réactivation n’est rien d’autre qu’une tentative du vivant pour reprendre son cours.
🎧 Breaking Through #2 — Les émotions : la peur de sentir
Disponible sur RGNR.tv
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2ème épisode sur 6 — L’émotion refoulée
Bonjour à toutes et à tous,
Breaking through, c'est quoi déjà ?
🌉 Une invitation à traverser l’inconfort, l’addiction et la souffrance émotionnelle... pour retrouver la santé.
🌉 6 épisodes pour reconnecter, en profondeur, à ce qui fait de vous un être vivant - biologiquement, émotionnellement, spirituellement.
🎯 Ne manquez aucun épisode !
🎙 Épisode 1 — Le piège du plaisir : quand la biologie se retourne contre nous
🎙 Épisode 2 — L'émotion refoulée : racine de toutes les dépendances ?
🎙 Épisode 3 — Le cerveau reptilien n'a pas besoin de motivation
🎙 Épisode 4 — Le corps comme terrain d'ancrage : retrouver le vrai plaisir
🎙 Épisode 5 — Breaking through : la grande traversée
🎙 Épisode 6 — Après la traversée, l'après-addiction
Épisode du jour — L’émotion refoulée
Ce deuxième épisode aborde les addictions, non pas sous l'angle de la volonté, de la morale ou du mental ;
mais sous un angle bien plus efficient : la dimension des émotions et de leur régulation.
L'addiction n’est pas un défaut de caractère : c’est le corps qui tente de se réguler, quand une émotion n’a pas pu être vécue. C’est, avant tout, une stratégie de survie.
Préparez-vous à des gros mots (traumas d'enfance, stress chronique, dissociation...),
et, comme toujours avec RGNR, à des solutions pratiques et immédiates à mettre en oeuvre.
Sur cet épisode, vous êtes gâtés :
→ d'abord, la voix douce et claire de Nina* vous explique tout ;
→ puis la voix tranquille et sécurisante de Patricia** prend le relais, pour vous accompagner dans une expérience de libération avec l'EFT***.
* Vous avez déjà découvert Nina, la nouvelle voix RGNR pour cette série de podcasts.
** Patricia Rousseau est formatrice en EFT et formatrice de formateurs. Vous la connaissez sans doute aussi, car elle intervient lors des séjours de Régénération, et dans certains des parcours et formations sur RGNR.tv.
*** EFT :"Emotional Freedom Techniques", traduit littéralement par "Techniques de libération émotionnelle".
Breaking Through (2) - L’émotion refoulée : racine de toutes les dépendances
Découvrez :
→ Ce qu'est réellement une émotion.
→ Les conséquences des traumas précoces et du stress chronique : hypervigilance, fuite, anesthésie émotionnelle, réactivations traumatiques...
→ Le cercle émotion-addiction, et la place des compulsions dans un système émotionnel dérégulé.
→ Les éclairages de la théorie polyvagale, et comment sortir du figement.
→ Et en bonus : une pratique concrète d'EFT, guidée par Patricia Rousseau — pour aller au contact de ses émotions en réapprenant à se sentir en sécurité.
🎧 Écouter le Podcast → https://rgnr.tv/contenus/podcast-breaking-through-episode-2-l-emotion-refoulee-racine-de-toutes-les-dependances
La sortie de l’addiction n’est pas une guerre contre le plaisir :
c’est un retour à soi.
Il n'est pas question de se priver, de rentrer dans une lutte.
tout au contraire : il s'agit de retrouver la capacité à ressentir, sans se fuir.
Il s'agit de réinstaurer une sécurité intérieure.
Si ce podcast vous aide, ou si vous pensez à quelqu'un en particulier, à qui vous aimeriez le partager...
Alors partagez-le sans hésiter !
Bonne traversée 💫
L’équipe RGNR
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Les coliques néphrétiques — douleurs intenses liées à la migration d’un calcul dans les voies urinaires — ne sont pas une maladie, mais le signal d’un trouble de l’équilibre minéral du milieu intérieur.
Dans la plupart des cas, les calculs sont faits d’oxalate de calcium ou d’acide urique. Ce n’est donc pas une “malformation” qui provoque les crises à répétition, mais un déséquilibre du terrain : surcharge acide chronique, déficit en magnésium ou en citrate (tampons naturels des cristaux), inflammation tubulaire rénale, stase urinaire liée à la déshydratation ou à l’alimentation.
Pourquoi les jus changent tout
L’apport quotidien de jus frais de légumes agit sur plusieurs leviers physiologiques :
→ Potassium et magnésium : minéraux alcalins qui se lient au calcium et à l’oxalate, empêchant leur précipitation.
→ Effet diurétique doux : l’eau vivante et les antioxydants des jus stimulent le flux urinaire sans irriter les reins.
→ Désacidification du terrain : les jus neutralisent les acides forts (urique, sulfurique, phosphorique) et limitent la cristallisation.
→ Réduction de l’inflammation rénale : les polyphénols, enzymes et vitamines (C, K1, A) soutiennent la régénération de l’épithélium tubulaire.
Quand le milieu intérieur se rééquilibre, le corps re-solubilise naturellement les cristaux, les élimine sans douleur et restaure la fonction rénale — ce qu’a confirmé l’échographie “en parfait état” du témoignage.
La physiologie vivante ne détruit pas, elle dissout.
📘 Lien vers le livre "L’Encyclopédie des jus santé" :
https://autonomia-editions.com/products/encyclopedie-jus-sante
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